La Nécropole sous la basilique St Pierre du Vatican

Saviez-vous que les sous-sols de la basilique Saint-Pierre du Vatican, à Rome peuvent être visités sous certaines conditions ?

Nous vous proposons de nous accompagner dans un voyage à travers le temps et les religions, sous ce bâtiment emblématique de l’histoire du christianisme..

La visite des catacombes autour de Rome est une approche intéressante de ce monde souterrain de tombeaux et d’ossuaires : celle de cette nécropole antique oubliée puis redécouverte et enfin rendue accessible nous entraîne dans un parcours mystique entre deux cultures.

Et si nous découvrions avec vous ce lieu insolite sans aucun a priori, et en utilisant nos ressentis de radiesthésie et nos connaissances en géobiologie ?

Basilique,Grottes Vaticanes et Nécropole - Copyright Fabrique de Saint Pierre
Plan de la nécropole souterraine et plan en élévation de la basilique (source : Fabrique de St Pierre)

 

L’histoire du lieu

En 64 après Jésus-Christ, après le terrible incendie qui avait ravagé Rome, Néron persécuta de nombreux Chrétiens, les accusant d’être à l’origine de cette catastrophe. Les apôtres Pierre et Paul furent suppliciés dans le cirque construit pour les spectacles et les courses de chevaux sur la colline du Vatican.

Selon les recherches des archéologues, le plan de ce cirque dépassait en longueur l’ensemble actuel de la basilique et de la place Saint Pierre. Une analyse par la radiesthésie permettrait de confirmer les dimensions précises de cette construction.

Sur l’arête centrale du cirque se dressait un obélisque venu d’Égypte, obélisque qui fut déplacé en 1586 pour être positionné au centre de la place Saint Pierre, tel que nous pouvons le voir aujourd’hui.

C’est non loin de l’emplacement d’origine de l’obélisque que Pierre, le disciple de Jésus, fut crucifié à sa demande la tête vers le bas, car il ne se jugeait pas digne de mourir de la même façon que son maître.

Selon une correspondance du prêtre Gaius, en 120 après JC, le corps de l’apôtre avait été enseveli à proximité immédiate du cirque de Néron, dans la nécropole romaine de la colline Vaticane.

En 322 commence la construction de la première basilique sous le règne de Constantin, à l’emplacement supposé de la tombe de Saint Pierre. Il est alors nécessaire de remblayer la colline du Vatican et aplanir le sol accueillant la première église. Plus de 40 000  m3 de terre sont déversés sur la nécropole romaine.

Le souvenir de celle-ci s’efface au cours des siècles, jusqu’aux fouilles entreprises dans les premières années du pontificat du Pape Pie XII, à partir de 1939.

La visite de cet univers souterrain conservé partiellement intact sous les remblais de terre pendant 1 600 ans commence à cet endroit.

La descente sous le niveau des Grottes Vaticanes nous emmène entre 4 et 10 mètres de profondeur, dans une atmosphère chaude et humide.

L’hygrométrie est maintenue à ce niveau, tandis que la Fabrique de Saint Pierre du Vatican restreint l’accès au site de fouilles à de petits groupes accompagnés d’un guide, afin de préserver la qualité des peintures et structures antiques.

Les premières impressions

 

Température, humidité, faible luminosité et étroitesse des accès souterrains sont parfois à l’origine d’une sensation de claustrophobie ou d’oppression en début de visite.

Nous ressentons surtout la présence de plusieurs cheminées cosmo-telluriques négatives. Ces systèmes énergétiques se retrouvent bien entendu au niveau de la Basilique actuelle.

Le taux vibratoire en regard du Mausolée Z, dit « des Egyptiens » est très bas. Le biochamp mesuré à proximité du mur extérieur sud est de l’ordre de 10 %.

Aucune entité humaine n’est ressentie dans ces lieux. A ce sujet, le guide « La Necropoli sotto la Basilica di san Pietro in Vaticano » donne des éléments précieux au sujet du culte des morts chez les Romains, notamment à propos des « Lemuria ».

Les « Lemuria » avaient lieu au mois de mai. Chaque année, le chef de famille réalisait dans sa maison un rituel destiné à éloigner les âmes en peine des décédés (appelées « lemures ») et les fantômes néfastes à la recherche de proies humaines. (appelées « larvae »).

C’est un exemple de la prise en compte par cette civilisation de phénomènes paranormaux que nous retrouvons encore aujourd’hui en géobiologie.

En effet, deux types d’énergies interfèrent avec la santé des vivants : les entités humaines errantes ou bloquées dans des plans intermédiaires, et les entités accrochées dans l’aura des personnes.

Le Mausolée M

 

Plus loin dans la visite, le taux vibratoire remonte à proximité du Mausolée M.

A l’intérieur de la petite chambre funéraire de cette sépulture chrétienne nous ressentons une CCT positive.

Christ-Soleil - Copyright Fabrique de Saint Pierre du Vatican

Cette construction est ornée d’une mosaïque très intéressante. Il s’agit d’une représentation très rare du Christ-Soleil, avec les attributs du dieu Apollon.

Tenant un globe dans la main gauche, il monte vers le ciel avec un quadrige de chevaux blancs (« Sol Invictus »).

Sept rayons dorés partent de sa tête, symbolisant le Christ en tant que « lumière de la vie ».

Notre guide voit dans la représentation des rayons verticaux et horizontaux la symbolique de la croix chrétienne.

Nous pourrions aussi comparer ces rayons aux tubes éthériques correspondant aux 5ème, 6ème et 7ème chakras, et aux tubes de perception extra-sensorielle.

« Petrus ora pro nobis »

 

Arrivés à proximité du lieu où fut enseveli le martyr, nous ressentons une élévation très forte du taux vibratoire.

Le niveau de conscience que nous avons atteint ne permet plus une mesure correcte de nos corps éthériques, le biochamp semblant se situer entre 2 500 et 4 000 %.

A ce moment-là, nous ne cherchons plus à identifier de phénomènes géobiologiques. Ce mur couvert de graffiti antiques, ce lieu où les reliques de Pierre ont été placées est un endroit de recueillement et de respect.

Notre guide nous expliquait que les indices archéologiques, anthropométriques, historiques ainsi que les différentes analyses scientifiques établissaient un faisceau de preuves portant à croire que les reliques qui sont ici sont bien celles de Pierre, l’apôtre qui connut Jésus.

Avec une totale objectivité, nous pouvons affirmer que l’énergie qui est ressentie à cet endroit est une énergie exceptionnelle, et que les ossements qui sont conservés ici sont bien ceux de Saint Pierre, venu évangéliser Rome, et crucifié par Néron en l’an 64 de notre ère.

Chacun est libre de croire ou non en l’existence de Jésus-Christ.

En ayant pris conscience de la force d’une telle énergie, uniquement contenue dans les ossements d’un être humain qui avait partagé quelques années de la vie de Jésus, il y a près de 2000 ans, nous nous interrogeons…

D’où peut venir une telle puissance, si ce n’est de Dieu ?

Si le disciple Pierre avait une énergie aussi belle et aussi forte, quelle devait être celle de Jésus ?

Que pouvait-on ressentir en approchant de Lui ?

Nous vous conseillons vivement de faire cette visite, pour que vous aussi, vous puissiez vous faire votre propre opinion, en fonction de vos ressentis.

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La réservation pour la visite de la nécropole vaticane se fait sur le site Internet de l’Ufficio Scavi (Bureau des fouilles archéologiques).

Faites-la dès que possible, compte tenu du nombre limité de personnes.

En attendant, vous pouvez avoir un aperçu de cette visite en faisant une visite virtuelle à 360° (en Anglais et en Italien) sur le site Web du Vatican.

(1) Le label Maison d’énergie désigne les lieux qui ont bénéficié d’une harmonisation énergétique et géobiologique