Le cromlech de Neuwiller-lès-Saverne

Abbatiale de Neuwiller-lès-Saverne

Les archéologues estiment que la construction de l’abbatiale de Neuwiller-lès-Saverne remonte à l’an 620.

Avant même l’existence du couvent et du prieuré, et plus tard abbatiale, l’église datée du VIIe siècle a été construite sur l’emplacement d’un site sacré de l’époque gallo-romaine.

Mais qui pourrait imaginer la présence d’un lieu de culte plus ancien encore remontant au Néolithique ?

Monsieur le Curé Alphonse LIEBHARD avait déjà étudié la présence de sept menhirs alignés sur une faille.

Perpendiculaire à la ligne des maisons actuelles, cette faille passe sous la ligne médiane de l’église.

Dans la continuité des travaux réalisés par Monsieur le Curé, nous nous retrouvons en compagnie de Paul et de Richard pour une visite étonnante, devant le parvis de l’abbatiale de Neuwiller.

Il fait moins 10° C, et l’air se charge de volutes de buée à chaque fois que nous respirons.

Arpentant méthodiquement la surface située devant les portes de l’église, Paul installe un ensemble de repères visuels entre les surfaces pavées et le sol, où la neige et la glace ont par endroits recouvert le gravier et le sable du parvis.

L’emplacement de nombreuses particularités physiques ou énergétiques peut être retrouvé précisément lors d’une recherche en radiesthésie. Tout objet enfoui laissant une « signature » dans son environnement, il est possible de ressentir la mémoire de cet objet, même après qu’il en ait été retiré.

Ainsi, en utilisant sa sensibilité, Paul a reconstitué la configuration de ce que nous pouvons appeler « le premier site mégalithique de Neuwiller », retrouvant l’emplacement des pierres levées qui ont été jadis fichées dans le sol, à des endroits bien précis.

Une fouille archéologique permettrait certainement de retrouver les traces, par stratigraphie, de ces mégalithes, à condition que le sous-sol n’ait pas été trop perturbé par les siècles de présence sur le site qui nous séparent de l’époque de leur mise en place.

Il s’agit ici d’un ensemble de pierres levées que nous appelons « menhirs », disposées en cercles concentriques autour d’un menhir central. Cette configuration est connue sous le nom de « cromlech », un nom d’origine celtique qui désigne un monument en forme de cercles de pierres.

Ici, le menhir central est situé pratiquement au milieu du parvis, à trois dizaines de centimètres à gauche de l’axe médian (matérialisé par les lignes de pavés), face à l’entrée de l’église.

Ces lignes de pavés ont pour seul objectif de retenir les graviers, car le plan du parvis est légèrement en pente. L’écoulement de l’eau et l’esthétique du plan d’ensemble ne coïncident donc nullement avec les substructions antiques.

Sur le parvis, Richard Benishai et Paul Drummer mesurent les tracés énergétiques

Trois cercles concentriques entoureraient donc le menhir central. Le premier cercle comporterait 11 menhirs.

Alphonse avait auparavant relevé un cercle de pierres à une distance de 12 pas de rayon, en partant du menhir central. Nous réalisons différentes mesures au sol entre 4 points menhirs.  Après ces premiers relevés, Paul contrôle avec nous la présence des différents réseaux  et singularités énergétiques, Richard mesurant les niveaux d’énergie de chaque point, selon son échelle de mesure personnelle.

Vue aérienne Neuwiller

L’activation mentale ou la simple présence d’une personne sur un point menhir modifie la valeur des taux vibratoires.

 

Réseaux géomagnétiques

Il existe sur Terre autant de réseaux d’énergie que de métaux.

Le quadrillage de notre planète par ces lignes d’énergie s’explique par la rotation de la Terre et le champ créé par le magma central, ce qui donne des mailles ayant des caractéristiques stables, en fonction de la nature du sous-sol, et hors intervention de l’homme.

Les plus courants sont les réseaux Hartmann et Curry.

Le menhir central est à l’emplacement des croisements des réseaux suivants :

  • Hartmann (réseau nickel) de niveau 3 (H3)
  • Curry (réseau fer)
  • Palm (réseau cuivre)

Paul ressent les énergies sans instrument de radiesthésie si ce n’est les ressentis corporels et utilise des techniques de kinésiologie – un test de réaction musculaire également utilisé pour la perception d’énergies subtiles – afin de valider la présence des réseaux avec d’autres personnes.

Le menhir central a été positionné au-dessus d’une faille alimentée par un courant d’eau.

En revanche, le réseau H a été décalé pour coïncider avec l’emplacement de cette pierre. Comme nous le verrons plus loin, c’est le cas d’autres réseaux.

Rayon sacré

Le rayon sacré est un lien d’énergie appelé parfois « Ley Line », selon la théorie développée par Alfred WATKINS en 1921, reliant anciens monuments et sites mégalithiques.

Ici, le rayon sacré relie le menhir central à l’emplacement de l’autel situé dans le chœur des ruines de la chapelle du cimetiére de Saint Nicolas. Les ruines sont traversées obliquement par l’énergie du Rayon Sacré, qui continue dans cette direction.

Alphonse avait prouvé en analysant la polarité des pierres que cette structure ne faisait pas partie des fondations du bâtiment disparu. Néanmoins, le plan actuel des ruines sur le sol suit globalement le tracé des murs de cette chapelle.

La présence de ce rayon sacré soulève une autre interrogation : si la chapelle a été construite sur un site contemporain du cromlech, de quoi s’agissait-il ?

Vouivres

Vouivre sur les murs de la Cathédrale de Strasbourg

La vouivre est un courant tellurique souterrain, présentant parfois des « résurgences » au-dessus du niveau du sol. La représentation de cette énergie utilise une symbolique qui l’associe habituellement à un dragon ailé, ou un serpent.

Elle vient de la fréquente présence d’une sphère d’énergie sur un plan vertical (tête), en relation avec un courant énergétique de forme non linéaire, qui se termine au sol à une certaine distance (queue).

Cette symbolique prend appui sur la perception des personnes qui bénéficient du don de claire-vision et qui ont à travers le temps imagé cette énergie avec des représentations physiques se rapprochant le plus de leurs ressentis.

Dans l’église ancienne où nous étions allés nous recueillir, un médium m’a signalé avoir vu une forme d’énergie qu’il ne connaissait pas, la décrivant comme « une sorte de lézard ou de serpent, de couleur verte, avec une tête sympathique dressée au-dessus du sol » devant nous, exactement à l’emplacement où je connaissais la présence d’une belle vouivre.

Tubes d’énergie

Sur le site de Neuwiiller-lès-Saverne, nous ressentons nettement la présence d’une tête de vouivre de grandes dimensions, dont le centre se situe précisément au point central du cromlech.

La création des tubes d’énergie est réalisée par des initiés, dans le cadre d’un rituel spécifique. Ces phénomènes énergétiques sont particulièrement bien décrits dans le Tome I de « Géométries sacrées » de Stéphane CARDINAUX.

tubes d'énergie

Les tubes d’énergie relient des hauts-lieux d’énergie, tels que sites sacrés, montagnes, menhirs. Paul nous montre deux tubes d’énergie, qui partent du menhir central.

Le premier tube d’énergie est en relation avec l’église de Neuwiller : orienté vers l’entrée de l’abbatiale, il est sensible à l’énergie d’ondes de forme qui sont en relation avec la religion catholique.

Le second tube d’énergie est orienté à 90° à gauche par rapport au premier ( soit l’azimut 320° NNW). Il est en résonance avec d’autres émissions d’énergie : l’expérience présentée par Paul nous permet, sans aucun doute possible, d’identifier ce tube d’énergie comme étant en relation avec un culte druidique.

Même dans des conditions météorologiques difficiles (froid, brouillard), les sensations restent perceptibles, à condition de garder un esprit neutre et attentif.

Rayon celtique

Un rayon celtique (6,3 sur l’antenne Lecher) passe également par le menhir central. Il s’agit d’un réseau « son », qui amplifie les fréquences vocales.

Paul nous rappelle que lors de la conquête de la Gaule, César donna ordre de faire abattre toute pierre levée que ses éclaireurs trouveraient dans la région.

Les Romains connaissaient l’existence d’un réseau de communication utilisé par les Druides. Ces derniers se servaient de cette particularité énergétique organisée entre différents sites mégalithiques à la façon des tubes d’énergie.
Certains réseaux étaient de nature éthérique, d’autres de nature tellurique.

Cheminées Cosmo-telluriques

Vortex et cheminées cosmo-telluriques de vibration élevée sont généralement présents dans la plupart des hauts-lieux d’énergie. Sur ce site, ces deux systèmes énergétiques sont habilement positionnés :

représentation du menhir central

Le menhir central est le point focal d’une cheminée cosmo-tellurique ayant 8 bras et 6 mètres de diamètre. En fait, une CCT positive se trouve sur l’emplacement de chaque menhir périphérique. Ces cheminées sont mesurées par Richard, qui obtient un diamètre de 90 cm hors activation.

 

Vortex

Les vortex sont des systèmes énergétiques de forte puissance, ayant une spire positive et une spire négative, reliées entre elles par un lien énergétique.

Richard mesure le diamètre du vortex situé sur le menhir central et obtient 5,40 mètres. La spire positive du vortex semble donc englober le premier cercle de pierres.

Autres réseaux

Lithium

Croquis réseau lithium

Un réseau lithium relie le menhir central à un autre menhir proche de l’entrée de l’abbatiale.

Le réseau lithium est considéré comme bénéfique dans le cas de maladies respiratoires.

Or

Une ligne d’or passe sous la haute tour de la cathédrale de Strasbourg.

Ici, c’est un sous-réseau de cette ligne, une résille d’or, qui a été localisée par Paul entre un menhir du premier cercle et la façade de l’église.

Plus exactement, la ligne d’énergie se situe entre la statue à gauche de l’entrée de l’église et le menhir qui se trouve dans cet axe perpendiculaire à l’édifice.

L’orientation de ce sous-réseau est d’ailleurs étonnante.

Carrés magiques

carré magique à gauche du parvis

Les carrés magiques sont obtenus par la séparation de deux lignes Hartmann en 3, ce qui génère un carré tri-dimensionnel de 9 cases.

De façon traditionnelle, les carrés magiques se trouvent à l’entrée des églises, ou bien à l’entrée de lieux sacrés.
C’est le cas également à Neuwiller-lès-Saverne, dont la particularité est de posséder deux carrés magiques sur un réseau Curry.

Un autre carré magique se trouve à gauche du cromlech, sans lien avec la présence de l’abbatiale. La tête d’une vouivre de dimensions plus modestes est également ressentie au centre du carré central.

Quelle était la fonction de ce second carré magique ?
Ce carré est relié à un vortex par un lien énergétique, plus loin sur la gauche. Les spires du vortex sont ressenties à proximité du puits, à une quinzaine de mètres plus loin.

Le vortex étant situé sur un réseau magnésium (bénéfique dans le traitement de l’asthme), une expérience de kinésiologie démontre que le lien énergétique relie le réseau magnésium au menhir central, en passant par le carré magique (acheminement d’informations).

Cette configuration, qui associe un ou plusieurs réseaux volontairement positionnés sur chaque point menhir, nous fait penser que le site du cromlech avait, au-delà d’une fonction sacrée, une fonction thérapeutique.

Site sacré, lieu de guérison, le cromlech de Neuwiller-lès-Saverne nous réserve certainement encore d’autres surprises.

Alors que le « Chemin des pèlerins » passant par la crypte de l’abbatiale n’est plus possible depuis le départ d’Alphonse LIEBHARD, (1) le cromlech est situé sur le parvis, et donc accessible à toute personne qui souhaiterait expérimenter les points énergétiques décrits dans cette page.

« Ne les craignez donc point; car il n’y a rien de caché qui ne doive être découvert, ni de secret qui ne doive être connu. »

Matthieu,  10.26


(1). Alphonse LIEBHARD, in memoriam