Un arbre électrosensible ?

L’expertise de Maison d’énergie est sollicitée pour un cas étrange dans un jardin où se trouve un bois de chênes très anciens.

Le propriétaire du magnifique chêne sur la photo ci-dessus a remarqué que, depuis qu’il a installé un éclairage accroché aux branches de cet arbre, les deux branches portant les câbles et les ampoules électriques sont les seules qui ont perdu leurs feuilles et qui sont maintenant deux branches mortes.

Coïncidence ou cas d’électrosensibilité ?

Dans la vie d’un chêne, il est normal que certaines branches dépérissent, à la suite de causes très variées,

En examinant globalement l’aspect de cet arbre, ce qui nous frappe c’est de voir que ce sont les seules branches de taille importante à avoir perdu tout signe de vitalité.

En nous approchant, le premier ressenti que nous avons est un ressenti de souffrance : cet être vivant se trouve obligé de supporter un rayonnement basse fréquence sur deux de ses branches, s’épuise et préfère laisser mourir les branches en contact avec les cinq ampoules de l’installation.

Nous pouvons comprendre que le courant alternatif 220 V affecte un arbre autant qu’un être humain, mais pourquoi cette réaction, alors que l’installation dispose d’un interrupteur le long du tronc principal ?

Les lampes ne sont que rarement allumées, le soir et seulement pendant quelques mois par an !

L’inversion de phase, source de tous les maux

 

L’interrupteur est un interrupteur simple, dans un boîtier semi-étanche. Serions-nous en présence d’une inversion de phase ?  Sans instruments de mesure, un contrôle du branchement va permettre de confirmer rapidement cette hypothèse :

Effectivement, un contrôle visuel de la prise de terre puis de l’interrupteur confirme le fait que c’est le fil neutre qui est coupé par l’interrupteur, et non le fil de phase. En conséquence, le courant 220 V alimente continuellement le circuit d’ampoules, même quand l’interrupteur est position « OFF ».

Le champ électrique subi quand les lampes sont éteintes est donc de l’ordre de 20 FOIS supérieur au champ électrique rayonné par l’installation quand le fil de phase est coupé par l’interrupteur.

L’inversion de phase est ce même phénomène qui empoisonne les personnes qui dorment à proximité d’une lampe de chevet éteinte avec un interrupteur unipolaire : difficile sans repérage des circuits ou sans tournevis de phase de connaître la bonne orientation de la prise de la lampe…

C’est d’ailleurs une seconde difficulté dans cette installation : si le fil de phase est correctement branché sur l’interrupteur, comment savoir quelle est la bonne orientation de la prise électrique des lampes ?

Une solution simple à mettre en œuvre

 

La solution que nous préconisons est simple à mettre en œuvre : il s’agit de remplacer l’interrupteur d’origine par un interrupteur bipolaire étanche, qui va isoler l’ensemble du circuit quand il n’est pas utilisé.(1)

Le temps d’exposition est donc maintenant réduit au temps d’allumage des lampes.

Nous pouvons aussi remplacer tous les câbles de l’installation par des câbles blindés et correctement mis à la terre, et détacher les lampes des branches, pour les fixer à des câbles tendus entre trois arbres : le rayonnement électromagnétique se diffuserait alors dans l’air ambiant sans contact direct avec les branches des arbres.

 

Installation aérienne protégée par un interrupteur à bascule – crédits photo : J. A.

Mesures bioénergétiques

 

Nous avons procédé à la mesure du corps énergétique de l’arbre, ce qui nous a permis de découvrir un élément nouveau :

  1. Lampes allumées : 193 cm depuis la base du tronc
  2. Lampes éteintes : 413 cm

Le système de coupure est donc opérationnel, mais une anomalie apparaît : la circonférence de la couronne de l’arbre est bien supérieure à 413 cm de rayon. Cela signifie que le corps physique de l’arbre est plus grand que son corps énergétique => il y a une autre anomalie : est-elle d’origine électrique ?

Nous coupons alors au tableau électrique la ligne alimentant le circuit des lampes d’éclairage :

3. Alimentation électrique coupée : 834 cm

L’alimentation électrique passe au-dessus des racines de l’arbre, dans une goulotte standard, et se termine au pied du tronc. Cette nouvelle mesure nous montre que l’arbre est sensible au réseau d’alimentation électrique. Utiliser des goulottes blindées de type FLEXARAY+ comme celles de l’entreprise Courant s’impose naturellement.

Un dernier test est alors réalisé avec le correcteur de réseau électrique mom 3. Nous avons déjà mesuré les effets sur le corps énergétique humain de ce dispositif.

Cette mesure, totalement reproductible, se traduisait lors de la mise en place du correcteur, par une augmentation du corps énergétique de l’ordre de 200 %.

Allons-nous constater le même phénomène avec l’arbre électrosensible ?

4. Avec correcteur de réseau mom 3 : 1 540 cm

Nous sommes donc proches du double du corps éthérique mesuré dans des conditions « naturelles », c’est à dire sans ligne électrique active dans la zone de présence physique de l’arbre.

En conclusion

 

Cet arbre a donc été la victime silencieuse d’une pollution due à un champ électrique trop élevé, trop proche et pendant une période trop longue. Il a réagi en sacrifiant deux de ses branches.

Cet exemple d’adaptation et de réponse de la Nature dans une situation de stress intense doit-elle nous laisser indifférents ?

 

 

 

 

(1) Au sujet des interrupteurs bipolaires : voir la page « Comment réduire la pollution électrique basse fréquence dans son habitation«