Ouija

Pourquoi publions-nous ces films d’horreur dans la rubrique « Des auteurs inspirés » ?

Il existe un public pour apprécier ce genre de productions cinématographiques, notre objectif n’est pas de porter un jugement dans ce domaine.

Si vous lisez cet article, peut-être pourrons-nous vous éviter des désagréments, ou peut-être pourrez-vous transmettre cette information aux personnes qui en auraient besoin :

Ne jouez pas à ça !

Contacter des défunts ou des esprits de cette manière, n’est pas la bonne façon de faire. C’est comme ouvrir une porte sur l’inconnu.

Vous pouvez avoir de la chance, comme vous pouvez aussi faire un pas en avant dans le vide. Un pas qui risquerait d’être fatal, pour votre santé mentale ou physique.

Le spiritisme, les planches de ouija, très à la mode depuis le XIX ème siècle, ont connu leurs fervents adeptes et leurs détracteurs.

Les cartésiens disent que ces pratiques, que ce soit la planche de ouija ou les tables tournantes, sont simplement des illustrations de l’effet idéomoteur ou de l’effet chaîne de Markov. Ils ont certainement partiellement raison.

En revanche, nous avons connu suffisamment de cas pour l’affirmer : ces séances peuvent très mal se terminer.

Rendons ici simplement hommage au graphiste qui a réalisé l’affiche du premier film de cette série : son inspiration correspond parfaitement à cette réalité.

Les pièges de la communication avec l’au-delà, les morts, les défunts

Communiquer avec l’au-delà, avec les morts, les défunts et les esprits de façon plus globale est en principe du ressort des véritables médiums et chamanes.

Les meilleurs d’entre eux connaissent parfaitement les règles de cet exercice : ce qui est possible, ce qui n’est pas souhaitable, et ce qui est dangereux.

Imaginons le déroulement d’une séance de spiritisme.

Un participant pense de bonne foi avoir établi un contact avec un proche décédé.

Pour vérifier l’identité de l’esprit qui se présente, il va être tenté de poser une question secrète, dont la réponse ne serait connue que par le défunt en question.

Malheureusement, si l’esprit qui se manifeste est un imposteur, il sera facile pour celui-ci de s’authentifier en recherchant télépathiquement la réponse à cette question secrète, dans la tête du participant.

Un jeu d’enfant, car le participant fait preuve pendant la séance de spiritisme d’une grande concentration, et est prêt à accueillir toute réponse : son activité cérébrale est aisément perceptible d’un point de vue énergétique (1).

Une fois rassuré, le participant va alors offrir à cet esprit la possibilité de le manipuler, de s’installer sur lui, ou de s’établir dans son habitation.

Parmi les imposteurs, nous trouvons ainsi des esprits que l’on pourrait qualifier de « farceurs » : ils sont là pour faire « tourner en bourrique » les apprentis-médiums. C’est leur loisir préféré.

D’autres sont plus nocifs, et leur capacité d’interaction avec la matière se traduit par une escalade dans l’effroi, dans le but de prendre possession des lieux et des êtres vivants. Le levier est la peur.

Alors, les phénomènes paranormaux qui se produisent sont en mesure de déstabiliser même les plus solides.

Ces entités que l’on dit « maléfiques » sont assez difficiles à enlever, surtout lorsqu’elles parasitent une personne ou un lieu depuis longtemps. Elles prennent leurs habitudes.

Et quand nous intervenons dans le cadre des activités de Maison d’énergie pour assainir la situation, nous nous retrouvons face à des charges énergétiques puissantes – ce sont souvent des entités de niveaux très lourds qui ne se sont jamais incarnées – prêtes à en découdre.

Sans entrer dans le détail, nous avons en mémoire un cas où l’imposteur, une fois qu’il avait été accueilli à bras ouverts pendant une séance de spiritisme, s’est manifesté progressivement de façon tellement insidieuse et intrusive, que la famille a décidé de quitter précipitamment les lieux et de vendre la maison.

Quelle expérience vont alors vivre les futurs occupants après avoir acheté cette maison ?

 


Si vous voulez simplement regarder – sans pratiquer – pour vous faire une opinion :

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(1). D’où cette théorie selon laquelle le participant induit la réponse de façon inconsciente en fonction des premiers éléments dont il dispose.