Le choix d’un logo, d’une image d’entreprise est un choix important, autant sinon plus que le choix d’un bon slogan.
Le logo véhicule bien plus que l’identité visuelle de l’entreprise : il met en images et transmet les valeurs de l’organisation qu’il représente ainsi que tous les égrégores qui y sont associés.
Ce choix n’est pas neutre, car il va conditionner dans bien des cas l’avenir de ceux qu’il identifie.
En effet, un bon logo se construit avec un graphisme équilibré, si possible en utilisant un tracé régulateur ou des rapports harmonieux, une symbolique adaptée, des couleurs dynamiques…
Si la plupart des designers font preuve d’intuition, est-ce suffisant pour créer un bon logo ?
Le logo est un élément de réussite
Chaque logo possède une « signature énergétique », qui est le résultat d’un ensemble de paramètres : cohérence ou non des graphismes, choix des couleurs, onde de forme, égrégores…
Cette signature va être en résonance avec un champ énergétique dit champ de torsion, qui sera perçu soit comme étant positif, soit comme étant négatif.
Et par cette loi universelle de résonance, le logo apportera soit une énergie créatrice soit une énergie destructrice à tout ce qui est en relation avec lui.
En effet, nous avons vu à plusieurs reprises des logos positifs accompagner la réussite des entreprises qu’ils identifiaient, tout autant que des logos négatifs marquer l’échec d’autres organisations.
Prenons deux cas d’école pour illustrer les freins que peuvent représenter des logos dont l’énergie n’a pas été analysée correctement :
Cas N° 1 : le lion aveugle
Il était une fois, un chasseur immobilier qui avait choisi l’image du lion en tant que symbole, pour donner une image positivement agressive à son entreprise.
En soi, le message est cohérent : le lion, roi de la jungle, est un prédateur redoutablement efficace.
Il représente la force, la rapidité, la fiabilité.
Commercialement, cette image est parfaitement adaptée à l’activité du chasseur immobilier.
malheureusement, d’un point de vue énergétique, l’image choisie pour le logo possède un défaut : les yeux du lion sont ouverts, mais vides. (1)
Comment un lion aveugle pourrait-il chasser ? Il est certain qu’un lion aveugle est condamné à mourir.
Aujourd’hui, cette agence immobilière n’existe plus.
Cas N° 2 : un symbole, deux interprétations
Voici un autre exemple de logo qui aurait mérité d’être analysé énergétiquement avant d’être utilisé.
Choisi pour porter les valeurs d’un ensemble de personnes, un logo doit être irréprochable, ne pas générer une onde de forme négative, et être reconnu dès qu’il est affiché.
Une erreur d’appréciation dans le graphisme ou le choix des couleurs peut empêcher le logo de remplir la fonction d’image positive qui est recherchée.
Ici, en faisant tourner le logo de 90° vers la droite, le « + » accompagné de ce trait noir vertical… peut être inconsciemment associé à l’image d’un élément mobilier de cimetière.
Le choix des couleurs du logo a également son importance.
Le violet, par exemple, est dans certaines cultures associé à la couleur de la méditation ou de la spiritualité, alors que dans d’autres il fait partie des couleurs qui portent malheur ou qui ont mauvaise réputation. (2)
Bien entendu, le logo n’explique pas tout !
Le recrutement, les choix stratégiques des dirigeants, l’ambiance au travail dans une entreprise pèsent beaucoup dans la balance et vont déterminer sa réussite ou son échec.
Dans les cas que nous présentons, qui pourrait affirmer que les dirigeants n’ont pas été à la hauteur ? Les critiquer, les blâmer ?
Quand la tempête atteint l’entreprise, il y a toujours des personnes qui seront là pour critiquer telle ou telle décision, expliquer par le marché, la conjoncture, l’erreur d’appréciation, une fois que l’échec a mis à mal l’organisation.
Trouver des points faibles et appuyer sur les blessures est facile, une fois la bataille terminée.
En revanche, analyser les facteurs clefs de succès, apporter un soin particulier à la construction de l’image de l’entreprise est une démarche pro-active qui va bien au-delà des préconisations du marketing mix.
Le fait de prendre conscience de l’importance de l’énergie des logos devient alors une première étape essentielle, qui s’inscrit dans une évolution des mentalités de notre civilisation.
Il y a quelques années encore, les chefs d’entreprise qui faisaient appel au Feng Shui étaient encore peu nombreux ; aujourd’hui ces pratiques ne sont plus considérées comme de la superstition ou comme une mode orientaliste.
Mettre toutes les chances du bon côté
Dans un contexte économiquement difficile, c’est un choix tout simplement pragmatique que prennent les dirigeants.
Même si le chef d’entreprise n’a pas la sensibilité nécessaire pour analyser un logo ou ressentir les énergies de son lieu de travail, il peut déléguer cette mission à des spécialistes.
L’approche globale d’une action de consulting faite avec neutralité et impartialité apporte de nombreux bienfaits.
Les Maîtres de Feng Shui ont l’habitude de prendre en compte tous les aspects de l’entreprise, depuis l’orientation et l’aménagement des bureaux, le choix de l’emplacement des bâtiments, leur environnement, l’ambiance de travail, le profil des dirigeants, le nom et les images communiquées aux clients. (3)
Dans ce cadre, choisir un logo positif est aussi important que le fait d’harmoniser les énergies de la maison dans laquelle vous habitez : vous mettez ainsi toutes les chances de réussite de votre côté !
Vous souhaitez un conseil ? Nous pouvons analyser l’énergie des projets de logo ou du logo que vous souhaitez utiliser.
Pour nous contacter :
1. Étant donné que cette entreprise n’existe plus aujourd’hui et que le logo d’origine est difficile à trouver, nous avons utilisé pour illustrer ce cas d’école une image qui a été modifiée par nos soins.
Il faut retenir de ce cas que toute représentation, animale ou humaine, dont les yeux ne sont pas dessinés, a une onde de forme négative. C’est malheureusement le cas de nombreux tatouages… en attendant le jour ou les tatoueurs en prendront conscience !
2. « Des sept couleurs de l’arc-en-ciel trois n’ont même pas de nom spécifique en arabe : le violet, l’indigo et l’orange. Ce sont des couleurs indéfinies, vagues, innommables » – Abdelwahab Bouhdib, sociologue Tunisien.
3. L’ambiance au travail est conditionnée par une bonne gestion des énergies : dans un lieu harmonisé, l’efficacité des collaborateurs est optimisée, car ils ne dépensent pas toute leur énergie à se protéger des mauvaises ondes qui les entourent. Voir notre page à ce sujet :