Test du correcteur de réseau électrique

Le correcteur de réseau électrique, nouveau dispositif Lakhovsky / Tesla en 4D

 

Si comme nous vous suivez depuis plusieurs années les innovations réalisées par Hubert Mauerer, vous avez pu constater les efforts de miniaturisation apportés dans la plupart de ses produits.

Auparavant, pour re polariser le réseau électrique, une plaque de près de 22 cm de côté contenant un circuit oscillant de Lakhovsky était nécessaire.

Le nouveau correcteur de réseau électrique est un chef-d’œuvre de discrétion : 4.2 x 3.5 cm !

Transportable partout avec vous, il a été conçu pour pouvoir être installé et retiré en quelques instants, ce qui fait de lui le compagnon idéal des travailleurs nomades.

En effet, vous pouvez bénéficier de ses effets positifs au bureau – sur votre poste de travail informatique par exemple, le mettre dans votre poche et en profiter chez vous quand vous êtes en télétravail.

Le diamètre du passage du câble est prévu pour s’adapter au câble d’alimentation d’un ordinateur.

Pour un câble plus fin, vous pouvez disposer le câble en boucle, il fonctionnera tout aussi bien.

Nous avons voulu tester son efficacité dans un environnement difficile, en voici les résultats :

Test numéro 1 : dans un wagon de TGV

Dans un article précédent (1), nous avions parlé de la difficulté pour une personne électrosensible de voyager à bord d’un TGV.

Bref rappel au sujet des pollutions CEM, basse fréquence et haute fréquence que subissent les voyageurs :

La pollution CEM à bord d'un TGV - image Wiki, infographie AME

 

L’évolution de la situation par rapport à nos mesures précédentes tient principalement au nombre de téléphones portables embarqués : aujourd’hui, qui ne possède qu’un seul téléphone cellulaire ?
Lors de mon dernier déplacement, mon voisin immédiat utilisait deux Smartphones (l’un fourni par son job, l’autre pour son usage privé)… en même temps.

Vous pouvez donc estimer que dans un wagon, 40 à 80 portables seront actifs, même s’ils sont en mode silencieux, et que tous ces appareils vont désespérément chercher à « capter « borner », c’est à dire à se connecter à une antenne de téléphonie mobile, à une vitesse de l’ordre de 300 km / heure…

Revenons à mon voisin : en plus des ondes généreusement diffusées par ses deux téléphones portables en 5G et en Wi-Fi, son ordinateur était aussi connecté au réseau Wi-Fi de la SNCF, ce qui lui permettait de visionner son film, avec un casque en Bluetooth sur les oreilles.

Ajoutons à ce brouillard électromagnétique le rayonnement des caténaires, et de façon ponctuelle les antennes-relais et les lignes à haute tension ou très haute tension sur le trajet du TGV, et cela donne un cocktail difficile à supporter.

Le pendentif anti-ondes de la dernière génération que je porte est généralement efficace pour me protéger des pollutions électromagnétiques, mais je dois reconnaitre qu’au moment de m’installer au milieu du wagon, j’ai eu l’impression que ma tête allait exploser, ce qui me faisait craindre la suite du voyage : comment résister à une telle pression pendant 5 heures ? (2)

Branchement du correcteur électrique sur un câble alimenté.

 

J’ai alors sorti le câble de mon ordinateur portable et je l’ai branché à une prise, sans y connecter l’alimentation du PC, car je n’étais sincèrement pas en état physique de travailler avec.

J’ai positionné le correcteur de réseau électrique et là, miracle, la douleur s’est peu à peu estompée.

En quelques minutes la situation est redevenue « acceptable ».

correcteur électrique en situation dans le TGV

 

Le correcteur agit sur l’électricité de l’ensemble des équipements qui sont alimentés dans le wagon – et peut-être même au-delà de ce wagon, y compris sur la ou les bornes Wi-Fi installées par la SNCF.

Je ne sais pas où se trouvent ces bornes Wi-Fi, mais je suppose que mon siège était juste à côté de l’une d’entre elles.

Quoiqu’il en soit, le fait de brancher le correcteur électrique a eu un effet indéniable sur une grande partie des nocivités.

La violence des sensations physiques est une expérience qui a été utile pour tester ce dispositif.

A partir de maintenant, cet objet utile sera toujours avec moi pendant tous mes déplacements.


(1). Un espoir pour les personnes électrosensibles

(2). C’est d’ailleurs un débat que nous avons régulièrement avec Hubert : nos avis divergent quant à la protection des dispositifs qu’il commercialise. Selon moi, le niveau de sensibilité aux ondes varie selon les personnes, et évolue également dans le temps.