
Intrigués, les riverains s’interrogent : pourquoi le toit d’un immeuble est soudain affublé de grosses cheminées qui viennent compléter les cheminées traditionnelles qu’ils avaient l’habitude de voir ?

C’est ainsi que de nombreux témoignages de visiteurs ont attiré notre attention sur cet étrange phénomène qui a commencé en France, principalement pendant les périodes de confinement de la crise sanitaire.

Le même bâtiment en 2010 – photo Street View
Une mystérieuse éclosion de cheminées a donc eu lieu sur les toits de certains bâtiments.
Le stratagème des opérateurs de téléphonie mobile est vite démasqué : il suffit de regarder de plus près ces étranges et imposantes cheminées surgies de nulle part pour comprendre que ce sont des antennes camouflées.

Grossièrement posées sur des piliers, elles cachent un imposant matériel d’émission.
L’élément qui trahit la présence des antennes

Dans cet autre exemple d’antennes cachées dans de fausses cheminées, le relais hertzien qui ressemble à une mini-parabole trahit la présence de ce dispositif de radiotéléphonie.
Mais pour quelle raison les opérateurs essayent de cacher ces antennes de la vue du public ?
Pourquoi cette nouvelle mascarade ?

Au moment du déploiement de près de 400 nouvelles antennes 5G dans le centre de Lyon, le prétexte « esthétique » du camouflage a été mis en avant (CF reportage réalisé par TF1).
Maintenant, les cheminées sont disponibles en teinte pierre, ou en imitation brique, avec des grilles d’aération !

Sur la photo ci-dessus, la supercherie « esthétique » se découvre avec une bonne vue : 
ce sont des trappes d’accès vissées sur chaque fausse cheminée (détail agrandi dans le cercle)
Ne pas inquiéter les foules

Sur la copie-écran ci-dessus extraite du site de Cartoradio-ANFR (Agence Nationale des Fréquences Radio), vous avez le positionnement des émetteurs dans capitale. Et dans les bulles de couleur rose, le nombre de mesures demandées par les habitants.
Si vous cliquez sur l’image, vous accédez au site de l’ANFR, et en zoomant ou en dézoomant, vous avez une idée plus précise des inquiétudes des riverains qui se retrouvent au milieu de ce maillage d’antennes.
Il est donc pertinent de camoufler toute nouvelle antenne pour faire oublier leur présence à la population et surtout ne pas inquiéter les foules…
Ainsi, quand des personnes vont se plaindre de maux de tête ou de fatigue chronique (1), elles ne feront pas systématiquement le lien entre ces nouveaux symptômes et leur propre boulimie technologique qui est à l’origine de cette situation catastrophique.
Souvenons-nous que selon les opérateurs, l’augmentation du nombre d’utilisateurs en téléphonie mobile et leur demande de vitesses de connexion de plus en plus rapides sont la justification du déploiement de la 5G.
D’autant plus que les mesures sont toutes bonnes, puisque « Le rapport de mesure conclut au respect des valeurs limites d’exposition fixées par le décret du 3 mai 2002. » (texte original)
Et le discours officiel est le même que celui que les lobbyistes utilisaient il y a longtemps pour protéger l’industrie du tabac (2), tout en se basant sur des normes établies bien au-delà du raisonnable.
Des antennes 5G activées discrètement

Une consultation rapide sur des sites officiels tels que cartoradio.fr ou antennesmobiles.fr confirme nos craintes : les antennes 5G ont été déployées pendant le confinement, en cachette, et camouflées dans de fausses cheminées.
La 5G a donc été activée à partir du 11 décembre 2020, avec au total une liste impressionnante de nouvelles fréquences.
Quelles sont les craintes des opérateurs pour choisir de déployer la 5G à l’insu des populations ?
Ont-ils conscience que cette nouvelle génération d’émission d’ondes haute fréquence est bien plus dangereuse pour la santé que la 4G ?
Craignent-ils des réactions violentes comme dans certains pays, où des militants excédés ont mis le feu à des antennes de téléphonie mobile ?
Avec la 5G, une augmentation significative des rayonnements

La présentation de cette nouvelle technologie dite 5G aurait pu nous laisser penser que les antennes, dites directionnelles, allaient moduler leurs émissions en fonction des téléphones portables qu’elles détecteraient.
Sur le terrain, la sensation de nuisance – mal de tête, fatigue, migraines – est indéniable.
A une centaine de mètres de l’immeuble où ont été installées les fausses cheminées, nous mesurons un flux directionnel supérieur à 15 milliWatts / m²
La mesure indicative réalisée correspond
à plus de 15 000 micro Watts / m²
Combien de temps les riverains vont-ils pouvoir supporter de telles doses de rayonnements ?
Pour mémoire, la norme SBM considère qu’au-delà de 1 000 micro Watts / m² (µW/m²), les valeurs sont extrêmement significatives et peuvent être à l’origine de troubles graves.
Recherche d’une solution avec un correcteur d’environnement

Étant donné que le groupe d’antennes se trouve à une centaine de mètres de l’endroit où nous pourrions positionner un correcteur d’environnement serait-il possible de polariser ces antennes avec un champ de torsion positif ?
Nous installons provisoirement ce dispositif au sol, à proximité d’une prise électrique murale. 
Une multiprise est branchée et calée contre une face latérale du correcteur.
Le ressenti de plusieurs personnes avant et après installation du correcteur d’environnement se traduit par une sorte d’allègement : moins de pression au niveau des tempes et sensation de plus de fluidité… la nocivité des antennes est toujours perceptible, mais elle semble atténuée.
Les nouveaux correcteurs d’environnement ayant une portée supérieure sont parfaitement adaptés pour ce genre de situations (3).
Les dessins intuitifs d’Hubert

Pour valider cette expérience, nous faisons appel à Hubert Mauerer, qui est à l’origine de la recherche et du développement de produits scalaires depuis de nombreuses années, sur la base de son ressenti.
Ses dessins intuitifs ont la particularité de montrer facilement la polarité des objets analysés. Plutôt que d’utiliser un pendule ou d’autres outils de radiesthésie, Hubert laisse aller librement son stylo sur une image : les graphismes qui en résultent sont en forme de pointes chaotiques en présence de nocivités, et les spirales en présence d’ondes positives.
Nous soumettons alors à Hubert deux photos des antennes, l’une prise avant positionnement du correcteur, et l’autre après, sans qu’il y ait pour lui la possibilité de les différencier.


Les spirales dessinées de façon intuitive sur la photo « après » couvrent une surface importante, qui en relation avec l’action des ondes scalaires (il est nécessaire de réduire la taille du document pour voir l’ampleur des spirales).
Les rayonnements continuent donc de traverser les organismes, mais l’action des oscillateurs de Lakhovsky / Tesla en 4D contribue à les rendre plus « supportables » en modifiant leurs champs de torsion.
(1). Maux de tête persistants et fatigue chronique sont généralement les premiers symptômes de la surexposition aux ondes. Heureusement, les médicaments sont là pour aider. ..
(2). « Il n’existe à ce jour aucune preuve de la nocivité des ondes » reprend par exemple l’ANSES, affirmation contredite par de plus en plus de chercheurs indépendants, tandis que les cas d’électrosensibilité se multiplient partout dans le monde.
(3). Le nouveau correcteur d’environnement HOME fait partie des nouveaux dispositifs Lakhovsky / Tesla en 4D et est disponible auprès de Maison d’énergie
