Les fausses cheminées des antennes 5G

Une paisible résidence séniors vue du ciel : remarquez le nombre de cheminées sur le toit

De nombreux témoignages de visiteurs ont attiré notre attention sur un étrange phénomène qui s’est produit en France, pendant la crise sanitaire et les périodes de confinement.

Avant : photo Street View du bâtiment en 2010…

Une mystérieuse éclosion de cheminées a eu lieu sur les toits de certains bâtiments. Intrigués, les riverains s’interrogent : pourquoi le toit d’un immeuble se voit soudain affublé de grosses cheminées qui viennent compléter celles qu’ils avaient l’habitude de voir ?

Après : le nombre de cheminées augmente soudainement… ce n’est qu’un camouflage grossier d’émetteurs nocifs pour la santé

Le stratagème des opérateurs de téléphonie mobile est vite démasqué : il suffit de regarder de plus près ces étranges et imposantes cheminées surgies de nulle part pour comprendre que ce sont des antennes camouflées.

Grossièrement posées sur des piliers, elles cachent un imposant matériel d’émission.

Mais pour quelle raison les opérateurs essayent de cacher ces antennes de la vue du public ?

Pourquoi cette nouvelle mascarade ?

Des antennes 5G activées discrètement

Une consultation rapide sur des sites officiels tels que cartoradio.fr ou antennesmobiles.fr confirme nos craintes : les antennes 5G ont été déployées pendant le confinement, en cachette, et camouflées dans de fausses cheminées.

La 5G a donc été activée le 11 décembre 2020., avec au total une liste impressionnante de nouvelles fréquences.

Quelles sont les craintes des opérateurs pour choisir de déployer la 5G à l’insu des populations ?

Ont-ils conscience que cette nouvelle génération d’émission d’ondes haute fréquence est bien plus dangereuse pour la santé que la 4G ?

Craignent-ils des réactions violentes comme dans certains pays, où des militants excédés ont mis le feu à des antennes de téléphonie mobile ?

Avec la 5G, une augmentation significative des rayonnements

La présentation de cette nouvelle technologie dite 5G aurait pu nous laisser penser que les antennes, dites directionnelles, allaient moduler leurs émissions en fonction des téléphones portables qu’elles détecteraient.

Sur le terrain, la sensation de nuisance : mal de tête, fatigue, migraines est indéniable.

A une centaine de mètres de l’immeuble où ont été installées les fausses cheminées, nous mesurons un flux directionnel

supérieur à 15 milliWatts / m²

La mesure indicative réalisée correspond

à plus de 15 000 micro Watts / m²

Combien de temps les riverains vont-ils pouvoir supporter de telles doses de rayonnements ?

Pour mémoire, la norme SBM considère qu’au-delà de 1 000 micro Watts / m² (µW/m²), les valeurs sont extrêmement significatives et peuvent être à l’origine de troubles graves.

Recherche d’une solution avec un correcteur d’environnement

 

Étant donné que le groupe d’antennes se trouve à une centaine de mètres de l’endroit où nous pourrions positionner un correcteur d’environnement serait-il possible de repolariser ces antennes ?

Nous positionnons provisoirement ce produit au sol, à proximité d’une prise électrique murale. Une multiprise est branchée; et calée contre une face latérale du correcteur.

Le ressenti de plusieurs personnes avant et après installation du cube se traduit par une sorte d’allègement : moins de pression au niveau des tempes, la sensation de plus de fluidité… la nocivité des antennes est toujours perceptible, mais elle semble atténuée.

Les nouveaux correcteurs d’environnement ayant une portée supérieure sont parfaitement adaptés pour ce genre de situations.

Les dessins intuitifs d’Hubert

Hubert Mauerer

Pour valider cette expérience, nous faisons appel à Hubert Mauerer, qui est à l’origine de la recherche et du développement de produits scalaires depuis de nombreuses années, sur la base de son ressenti.

Ses dessins intuitifs ont la particularité de montrer facilement la polarité des objets analysés. Plutôt que d’utiliser un pendule ou d’autres outils de radiesthésie, Hubert laisse aller librement son stylo sur une image : les graphismes qui en résultent sont en forme de pointes chaotiques en présence de nocivités, et les spirales en présence d’ondes positives.

Nous soumettons alors à Hubert deux photos des antennes, l’une prise avant positionnement du correcteur, et l’autre après, sans qu’il ait la possibilité de les différencier.

Les spirales dessinées de façon intuitive sur la photo « après » couvrent une surface importante, qui en relation avec l’action des ondes scalaires.

Les rayonnements continuent de traverser les organismes, mais l’action des ondes scalaires contribue à les rendre plus « supportables » !