Les textiles de protection Natur’Onde

 

De plus en plus de personnes électro-sensibles, ou hyper électro-sensibles, sont à la recherche de vêtements qui pourraient les protéger efficacement des pollutions des ondes haute fréquence.

Le marché des textiles de protection

 

Les textiles de protection sont aujourd’hui encore des produits relativement chers : une rapide recherche sur Internet permet de se rendre compte que ce marché émergent attire de plus en plus d’entreprises, avec des prix souvent très élevés, et une qualité parfois réellement douteuse.

Comment s’orienter dans cette jungle ? Avec nos différents contacts, nous avons procédé pour vous à une première sélection et à des tests rigoureux.

Prix, origine et qualité

 

Au moment de notre analyse, une casquette anti-ondes valait entre 50 et 300 €… L’origine des produits présentés sur les sites Internet reste la plupart du temps incertaine : Amérique du Nord ? Chine ?

Parfois une même photo est utilisée par des revendeurs n’ayant aucun rapport entre eux : s’agit-il d’un fournisseur de casquettes courantes en Inde, au Maroc ou en Chine achetées 0.50 € pièce ? Quelle qualité de blindage pouvons-nous espérer ? Comment ces produits sont-ils transformés ? Pour une personne électrosensible, la qualité du tissu et des pigments des produits textiles qu’elle portera sur la peau ont aussi leur importance.

Nous avons donc orienté notre choix sur une société d’origine Française installée dans le secteur de Lyon, qui bénéficie d’une bonne notoriété dans le domaine : Natur’Onde.

Natur’Onde fabrique ses textiles en France, dans la région Rhône-Alpes, à base de coton et de lin BIO.

L’implication de Caroline ROCHE, la technicité dont elle fait preuve dans la confection des produits anti-ondes et son écoute attentive sont des éléments qui favorisent naturellement une relation de confiance.

La traçabilité des textiles et le choix du BIO pour des produits destinés à un public dont le bien-être va également dépendre d’une multitude de facteurs nous ont également séduits.

En effet, une personne EHS peut aussi avoir développé une sensibilité extrême aux produits chimiques et aux textiles de son environnement. Quel autre fabricant de textile de protection se soucie-t-il de la qualité des matières qui seront en contact avec la peau d’une personne EHS ?

Au moment de notre recherche sur Internet, Natur’Onde a été la seule à avoir une communication transparence et bienveillante.

Tests énergétiques

 

Comment tester l’efficacité d’une casquette anti-ondes ?

Nous allons dans ce premier test proposer à deux sujets sensibles de porter cette protection, pendant que nous activons simultanément deux sources nocives d’ondes pulsées : Wi-fi et DECT.

Leur ressenti est bon : une gêne très faible intervient, mais beaucoup plus légère que si leur tête n’avait pas été protégée.

Cette impression sera confirmée par la suite par notre panel d’utilisateurs, dans des conditions de vie extérieures : à l’intérieur de différentes gares, à bord du TGV, dans les lignes du métro parisien, sur un vol long-courrier et à proximité de lignes à haute tension. Nous notons de la part des utilisateurs que la sensation d’atténuation des nocivités est nette grâce au port de la casquette anti-ondes. Cependant, cela reste une sensation subjective.

Le corps énergétique, une mesure non subjective

 

Nous décidons alors de tester la réaction de leur corps énergétique dans une situation d’agression. Et là, surprise, nous notons une contraction très forte de leur biochamp !

Alors que chaque personne porte encore une casquette anti-ondes, le passage d’un état de référence (pas d’émission négative) à un état d’agression (Wi-fi + DECT lors de ce test) se traduit par une contraction du Biochamp de l’ordre de 90 %.

Nous en concluons que, même si le cerveau est moins affecté car il est physiquement protégé, le corps énergétique enregistre quant à lui l’information d’agression et se rétracte autour de l’enveloppe corporelle.

A part circuler avec une Burqa intégralement confectionnée en tissu anti-ondes et mise à la terre, nous ne voyons pas comment arriver à améliorer ce résultat…

Natur’Onde utilise pour protéger les vêtements qu’elle propose un tissu blindé fait avec un maillage fin de fils métalliques résistant aux lavages.

Nous allons donc mesurer son efficacité à partir des échantillons fournis.

 

Mesures physiques scientifiques et indicatives

La performance des articles Natur’Onde a déjà été testée par le laboratoire indépendant EMITECH à Lyon :

Graphique provenant du site Natur’Onde

Ce laboratoire ayant confirmé une atténuation de 99.99 % des ondes hyperfréquences, nous effectuons simplement une mesure indicative dans nos locaux des échantillons dont nous disposons, ce qui nous permet de comparer leur efficacité à celle d’autres voilages.

Wi-fi

 

Nous activons l’émission Wi-fi d’une box positionnée à l’intérieur d’un meuble revêtu d’un blindage anti-ondes, porte ouverte. La mesure de départ est de près de 17,00 µW/m².

 

Nous plaçons un cadre en bois sur lequel est fixé un échantillon de tissu Natur’Onde entre l’émetteur et notre appareil de mesure de rayonnements. La valeur tombe à 0.07µW/m².

DECT

 

Nous positionnons maintenant notre appareil de mesure face à un téléphone sans-fil (DECT) dont seule la base commence à émettre en recherche automatique de combiné sans-fil, et mesurons 23.00 µW/m² d’ondes pulsées.

Une fois le cadre placé devant l’émetteur, et toujours sans déplacer l’appareil de mesure, ni changer l’orientation de son antenne, nous mesurons entre 0.29 et 0.34 µW/m².

Les phénomènes de réflexion (sol, murs) et d’échos liés à la présence de meubles dans la pièce où nous avons effectué ces tests peuvent expliquer ce résultat moins bon face aux ondes émises par un téléphone sans-fil.

En renouvelant les protocoles de tests avec d’autres échantillons de tissus anti-ondes venus d’autres fournisseurs, nous constatons dans les mêmes conditions des résultats analogues.

Les échantillons fourni par Natur’Onde se sortent donc fort honorablement de ces tests et confirment la capacité des voilages à atténuer les émissions d’ondes haute fréquence, sans être pour autant mis à la terre.

 

Une question mondiale de sensibilité

 

Nous sommes tous différents, et ce qui va être la solution miracle pour une personne ne le sera pas pour son voisin. Nous l’avons remarqué avec les dispositifs Lahkovsky, qui en ce qui me concerne, m’ont quasiment sauvé. Si certaines personnes électrosensibles ont amélioré leurs conditions de vie grâce à cela, pour d’autres, il était déjà trop tard…

Il en est de même pour ce type de vêtements, qui deviendront vite indispensables pour ceux qui y trouvent une sécurité face à des niveaux de pollution d’ondes de plus en plus élevés, alors que pour d’autres, il est peut-être déjà trop tard.

L’inconscience des entreprises et des pouvoirs publics dans la majorité des pays de notre planète, la puissance des lobbies autour des technologies sans fil nocives pour l’humanité, qui imposent toujours plus de produits et de services à tous et au mépris de la santé nous laisse encore perplexes…

Chaque test de produits anti-ondes, chacune de nos interventions nous montre que l’électrosensibilité va être la maladie émergente de ce siècle, une peste noire dont les ravages risquent de saper les base fragiles de la civilisation.

Souhaitons qu’un jour la prise de conscience se fasse pour trouver des solutions alternatives aux poisons actuels…

Quoiqu’il en soit, en achetant ce type de produits, gardez à l’esprit que les textiles se chargent facilement de mémoires pendant leur création, leur transport ou tout simplement pendant que vous les portez. Si votre sensibilité est élevée, choisissez des textiles de bonne qualité comme ceux que nous avons testés, et nettoyez leurs énergies de façon régulière.

Pour une personne EHS, améliorer sa santé veut dire aussi faire des choix d’hygiène de vie, abandonner ce qui est nocif pour soi, dans tous les domaines, du physique à l’énergétique.

Puissent ces produits vous aider autant que nous pouvons le faire !