Quand les fours micro-ondes ont fait leur apparition dans notre univers de cuisine, nous avons tous loué les bienfaits de ces nouveaux appareils, qui permettaient de réchauffer, décongeler et cuire les aliments en un temps record.
Nous avions tous besoin de gagner du temps pour chauffer les biberons, préparer le petit-déjeuner, manger en vitesse, toujours plus vite…mais pourquoi plus vite ?
Ce que nous ne savions pas, c’est que ces appareils utilisaient une technologie militaire recyclée dont les effets avaient été observés fortuitement sur les matières organiques.
Les ingénieurs avaient constaté que les molécules d’eau bombardées par les ondes émises par les radars militaires de l’époque s’agitaient à une fréquence élevée, et que cette agitation se traduisait par une chaleur et une élévation de la température à l’intérieur de l’enceinte métallique.
Des archives prouvent que les effets nocifs de ces rayonnements étaient déjà connus autant en Russie qu’aux États-Unis avant la commercialisation des fours à micro-ondes.
D’un point de vue énergétique
Les personnes sensibles peuvent expérimenter des tests de ressenti de qualité énergétique pour des aliments passés ou non à l’intérieur d’un four micro-ondes en fonctionnement.
Les résultats sont assez étonnants, lorsque le protocole de mesure est correctement établi.
En résumé, un aliment ayant une valeur vibratoire V perd la totalité de cette qualité vibratoire s’il est soumis aux ondes d’un four micro-ondes, même pendant une durée de temps très courte.
Cela équivaut à dire que tout ce qui passe par un four micro-ondes est rendu énergétiquement stérile : V = 0.
Mais cet impact sur la qualité énergétique des aliments est-il limité à l’enceinte du four ?
D’un point de vue sanitaire
En principe, un four à micro-ondes n’a pas de fuites vers l’extérieur.
Pourtant, seulement quelques jours après sa première utilisation, les ondes traversent l’enceinte de l’appareil émetteur.
Ci-dessus, une infographie représentant l’estimation du rayonnement hautes fréquences d’un four micro-ondes pendant son utilisation.
En l’absence d’obstacles significatifs (miroirs, murs épais, etc…) les zones impactées à des niveaux trop élevés – donc potentiellement dangereux – se trouvent dans un rayon de 10 mètres à partir de la source d’émission.
Dans notre tour d’horizon des pollutions électro magnétiques, nous rappelons qu’un test très rapide permet de vérifier si votre four micro-ondes est bien étanche.
Souhaitez-vous savoir si votre four est – ou n’est pas – nocif pour votre santé ?
Nous pouvons intervenir en réalisant des mesures indicatives à différentes distances du four, pour vous permettre de connaître le niveau d’irradiation auquel vous êtes soumis.
Si les fuites se produisent par la porte ou les joints, l’exposition des personnes à proximité est évidente. Les conséquences de cette exposition sur le corps humain, le cerveau et même au niveau cellulaire dépendent de la répétition dans le temps, de l’intensité et de la durée de l’exposition, sachant que les effets thermiques ne sont pas la seule conséquence du bombardement des ondes pulsées sur des organismes vivants.
La zone de rayonnement maximum représente en moyenne un rayon de 100 à 150 cm autour du four micro-ondes : tout aliment se trouvant dans cet espace verra ses propriétés vibratoires réduites à néant à chaque fois que le four est mis en route.
Nous avons ainsi pu constater la perte des qualités vibratoires de fruits situés dans une corbeille sur le plan de travail d’une cuisine, à proximité du four micro-ondes, ainsi qu’à l’intérieur d’un réfrigérateur.
Le gain de temps promis par cette technologie mérite-t-il tous ces désagréments ?
Si vous souhaitez une analyse avec des appareils de mesure de rayonnements haute fréquence, nous mettrons en évidence la présence de fuites, et les niveaux auxquels vous étiez jusqu’à présent exposé sans le savoir à différentes distances de votre four micro-ondes.
Cette technologie obsolète et mortifère a-t-elle sa place dans votre habitation ?